Jean Guibert

Saint Jean-Baptiste de la Salle

En même temps que la vie de Saint Jean-Baptiste de la Salle, cet ouvrage nous fait découvrir ce qu'était l'école primaire au 17e siècle.
Saint Jean-B

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52903

Reliures : Dos carré collé

Formats : 14,8x21 cm

Pages : 436

Impression : Noir et blanc

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En même temps que la vie de Saint Jean-Baptiste de la Salle, cet ouvrage nous fait découvrir ce qu'était l'école primaire au 17e siècle.
Saint Jean-B

Autour de Jean Guibert

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Résumé
En même temps que la vie de Saint Jean-Baptiste de la Salle, cet ouvrage nous fait découvrir ce qu'était l'école primaire au 17e siècle.
Saint Jean-Baptiste de La Salle (Reims, 30 avril 1651 - Manoir de Saint-Yon, faubourgs de Rouen, 7 avril 1719) est un ecclésiastique français et un innovateur dans le domaine de la pédagogie, qui a consacré sa vie à éduquer les enfants pauvres. Fondateur de l'Institut des Frères des Ecoles chrétiennes, Saint Jean-Baptiste de la Salle a posé les fondements de ce qui devait devenir l'Ecole normale, en même temps que ses écoles gratuites, à une époque où l'instruction publique n'était pas une priorité de l'Etat.
Son père le destine à une carrière juridique, mais Jean se sent la vocation religieuse. Tonsuré à 11 ans, il se destine à la prêtrise. Formé à la Sorbonne et au séminaire Saint-Sulpice, dont la spiritualité le marque profondément, il devient dès le 7 janvier 1667 chanoine à Reims, étudie la théologie à Paris à partir de 1670 et est ordonné prêtre le 9 avril 1678. Enfin, en 1680, il est reçu docteur en théologie.
Il aurait pu se contenter d'une vie de piété facile et agréable. Vous verrez qu'il a choisi un autre chemin, semé de bien des embûches... L'Eglise s'oppose à la création des frères des Ecoles chrétiennes, mais Jean-Baptiste de la Salle insiste et va jusqu'au bout de son projet.
Au XVIIIe siècle, Jean-Baptiste de La Salle et ses premiers disciples n'ont pas ouvert un seul type d'école. Ils ont su répondre, d'une manière adaptée, aux diverses demandes. Ils ont créé :
' des écoles primaires, gratuites, organisées par classe, adaptées aux enfants : Jean-Baptiste de la Salle recommande l'apprentissage de la lecture dans la langue maternelle. Jusque-là, on apprenait d'abord à lire en latin. Chez les frères, l'enseignement est simultané, les élèves sont groupés par niveau. Auparavant le maître, l'Ecolâtre, s'occupait individuellement des enfants. Pendant ce temps, les autres restaient inactifs ;
' des Ecoles Normales. Jean-Baptiste de La Salle eut pour souci constant d'assurer une sérieuse formation des maîtres, une formation tout à la fois chrétienne et pédagogique, il inaugura un premier Séminaire (ou Ecole Normale) de Maîtres pour la campagne, à Reims, en 1684 ; un second en 1685, et un troisième, à Paris, en 1699, ce qui lui valut le titre d'« Instituteur des Instituteurs ». Avant lui, les écoles étaient sans organisation et sans lien entre elles. Le recrutement et la formation des maîtres n'offraient que de médiocres garanties. Il conçut un vaste plan d'organisation scolaire et créa les organes propres à le réaliser.
' des cours d'adultes qui permettent à l'ouvrier, à l'apprenti, après sa journée de travail, de perfectionner sa culture intellectuelle, en vue d'élever sa situation, ou tout au moins de l'améliorer. Ainsi des écoles dominicales sont-elles créées, à Paris en 1698 et 1703. Ces cours d'adultes seront réorganisés par les Frères en 1830.
' des classes de formation professionnelle (préparant à un métier) pour les fils de bourgeois commerçants, où le sens pratique est développé. Les élèves travaillent sur des contrats, des imprimés et autres documents dont ils sauront se servir plus tard. La première école professionnelle est établie à Paris, sur la paroisse Saint-Sulpice, en 1699, une seconde est créée à Saint-Yon en 1705.
' des « pensions de force » pour la rééducation des enfants difficiles et des jeunes délinquants.
Il a été inhumé à Saint-Sever. En 1734 son corps fut ramené à Saint-Yon dans la chapelle de son pensionnat, puis en 1835 dans celle de l'Ecole normale de Rouen. Ses restes furent ensuite placés, en 1888, dans la chapelle du Pensionnat Jean-Baptiste-de-La-Salle, toujours à Rouen. Cependant, à la suite des querelles religieuses du début du XXe siècle, les restes furent déplacés en Belgique puis à Rome, ou ils sont toujours conservés par la Maison-Mère de l'Institut des Frères des Ecoles Chrétiennes.
Son procès de béatification commença en 1835 et, le 8 mai 1840, il fut déclaré Vénérable. Il a été proclamé bienheureux le 19 février 1888 et canonisé le 24 mai 1900 par Léon XIII. Sa fête est fixée au 7 avril. En 1937 ses reliques ont été transférées à Rome. Le 15 mai 1950, le pape Pie XII fit de lui le patron des enseignants.


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