Fidji Broustet

Le vent qui avait peur des girouettes

Victime de la foudre sur la lande Bretonne du côté de la pointe du raz, Hugo, jeune ornithologue passionné de littérature ne s'explique pas son état p

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80288

Reliures : Dos carré collé

Formats : 14,8x21 cm

Pages : 212

Impression : Noir et blanc

N° ISBN : 9782919239092

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Victime de la foudre sur la lande Bretonne du côté de la pointe du raz, Hugo, jeune ornithologue passionné de littérature ne s'explique pas son état p

Autour de Fidji Broustet

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Ses ouvrages
Résumé
Victime de la foudre sur la lande Bretonne du côté de la pointe du raz, Hugo, jeune ornithologue passionné de littérature ne s'explique pas son état plusieurs mois après cet événement...
Qui sont ces femmes rousses qui hantent ses nuits et parfois ses jours qu'il soit en Bretagne, chez lui dans la région Parisienne sur les bord de la marne dans son " Pavillon du merle blanc" ou sur un îlot dans les îles Lofoten en Norvège ? Entre Saint Pol Roux, Jules Renard, Maupassant, Dahu, Malgven, Freyja, Korrigans, sorcières et oiseaux Hugo en "perd son latin"...

« Le monde des choses, hormis telles concessions générales de primitivité, me semble l'enseigne inadéquate du monde des idées." Saint Pol Roux
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Une belle découverte. Ce roman nous entraîne au coeur de la Bretagne. L'auteur réussit à nous tenir entre réel et imaginaire.

    Imaginez-vous partir en promenade dans la lande bretonne. Vous vous dirigez vers un vieux manoir que les mémoires d’anciens disent hanté. Vous arrivez sur une hauteur, face à trois croix dont les inscriptions en langue bretonne célèbrent les vents d’ici. Soudain, l’orage se met à gronder. Vous vous sentez pris d’une sueur froide, égaré, sans abri à proximité. Les éclairs zèbrent le ciel, le tonnerre roule. Une atmosphère d’apocalypse. Terrorisé, vous vous tenez recroquevillé et soudain la foudre s’abat à proximité, dans une déflagration d’un autre monde.
    Voilà ce qu’a vécu Hugo, le personnage principal de ce roman. Lorsqu’il reprend connaissance après ce « coup de foudre », il est emporté à cheval et rencontre trois jolies femmes rousses, venues tout droit de la ville d’Ys engloutie.
    Hugo va ainsi naviguer entre des rencontres de femmes d’une beauté sublime dont il ne parvient plus à cerner si elles sont humaines ou issues de son esprit chamboulé, marqué par ces légendes des environs du cap Sizun. Ce climat mystique va même accompagner notre héros jusque sur une île au nord de la Norvège. Le lecteur est amené en permanence à s’interroger tout autant qu’Hugo, sur la réalité de ces femmes qui font chavirer son cœur.
    Toute la profondeur poétique de la plume de l’autrice coule dans ce récit qui est aussi, à l’issue d’un formidable travail de documentation, une magnifique découverte de la faune bretonne et en particulier de ses oiseaux. On perçoit à travers ces lignes, à quel point Fidji Broustet connait bien ces lieux où « finit la terre » et en est tombée amoureuse.
    Un roman touchant, porté par toute la sensibilité de l’autrice.

      Un roman magique qui m'a fait voyager de la Bretagne à la Norvège et au dénouement surprenant. J'ai adoré

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        Le vent qui avait peur des girouettes
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