Boris Cyrulnik est le chantre de la résilience. Chéri des médias, ses livres ne sont pourtant qu’un tissu de platitudes, d’approximations voire d’erreurs. Philippe Anthérieu prend le risque, dans cette édition de 2012, de briser l’omerta qui entoure la légèreté de la thèse du célèbre psychiatre.