Résumé
A mon esprit débordé, j’ai donné une raison de vivre. Débordé, j’ai toujours été dans mes prises de parole. Ce souvenir remonte en moi comme une larme qui est impatiente de couler. Le souvenir de ces moments durant lesquels je restais sur ma faim. Toutes les fois où j’en ai trop dit alors qu’il fallait en dire moins. Je n’ai pas toujours su me montrer concis et précis. Un défaut que je me presse de corriger à chacune de mes prises de parole. Comme on dit souvent, la qualité plutôt que la quantité. En revanche, j’ai décidé de faire de mon excès de quantité une qualité dans un registre où la qualité et la quantité cheminement bien ensemble. Les deux feront équipe pour un résultat plus qu’acceptable.