Christian Jacomino
253844
Reliures : Dos carré collé
Formats : 14,8x21 cm
Pages : 245
Impression : Noir et blanc
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Cher Christian, Je continue la lecture de vos livres. Le plaisir est toujours le même.
C’est un beau cadeau que vous nous faites. Qui aime lire, qui est un grand lecteur plonge dans Nocturnes et ne le lâche pas. « Enfin, de la littérature française ! » .
Une écriture, entre poésie et roman, rêverie et réalité, moment rêvé et moment vécu, est rare dans les publications contemporaine. Où la platitude le dispute à l'ennui (c'est un avis subjectif).
De sorte que Modiano est encore l'écrivain dont je n'attends pas la sortie du dernier opus en poche (même si depuis Dora Bruder, je lui préfère un bon Simenon, Le Train par exemple).
Alors, oui, il y a Modiano dans vos romans. Ce que j’aimais dans Modiano. Du Modiano avant qu'il n'oublie la vie.
Question: « peut-on écrire sans vivre? ». c’était le genre de dissertation qu’on nous proposait au collège, une phrase de Clavel, Bernard, ou Maurice, je ne me souviens plus. C’est loin.
Ce que vous écrivez répond à la question.
Hemingway me donne la même sensation de lecture.
Roberto Bolaño aussi, avec ses histoires de l’après deuxième guerre mondiale et de l’errance des poètes.
(parabase: il faut aussi être un grand lecteur pour écrire)
Voilà pour le fond. La forme est à son image. On en reparlera.