Né à Bruxelles au sortir de la deuxième guerre mondiale, je suis un parfait bâtard belge, tiraillé entre cultures flamande et francophone.
Un Flamand devenu francophile.
A dix-sept ans, je m'imaginais mélange : un tiers de Hendrik Conscience, un tiers de Victor Hugo, un tiers de Paul Verlaine, et surtout, un grand tiers de Albert Camus.
On n'est pas sérieux quand on a dix-sept ans.
L'appel de la scène fut un déclic, je m'investis dans des interprétations, des mises en scène, et enfin, l'écriture. Je montai des pièces pour enfants, pour adultes, initiai des adolescents à la magie du théâtre. J'écrivis des textes de chansons, des nouvelles, des romans.
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