Il était une fois, une bricoleuse de la vie, belge, française et grolandaise, candy ming. Sans adresse fixe, sans date de naissance fixe...
Imprégnée par l'Art contemporain, de la poésie et du spatialisme de Pierre Garnier, elle invente son métier bien à elle, bricoleuse de la vie. Agitant d'une plume magique, elle tisse le textualisme, le mot comme oeuvre d'art. Elle apparait alors sur une plage abandonnée là où nos chers amis grolandais, Benoit Delépine et Gustave Kervern lui tapent sur l'épaule alors qu'elle écrivait des poèmes au fil du temps. Aimant confectionné des vêtements selon son humeur, elle aime sortir pour déclamer des poèmes aux gens souvent dans les langues régionales ou langues du monde. Elle décroche alors un stage à groland où elle répond avec sourire aux spectateurs en signant avec des poèmes. Elle fait alors le reporter pour soutenir les vrais manifestants de l'ordre et de la justice en aidant Franki Kie à terminer son oratoire devant Moustic ou en s'habillant en alsacienne pour défendre les régionales. Puis, elle décide de se raser la tête mais seulement par Gustave de Kervern et c'est alors que cet être avec Benoit Delépine l'invite à tuer par coeur un patron dans Louise-Michel aux côtés de la sublime Yolande Moreau, du farceur Benoit Poelvoerde et du charmeur Bouli Lanners. Puis, elle monte derrière la moto la Munch de Dudulle (le Sieur Depardieu) pour casser le frein à main en essayant de grimper une côte en première. Dans Mammuth, elle devient alors une artiste la nièce de Serge Pillardosse. Dès à présent, officieusement Marianne Grolandaise, Héroine pure du groland ou autre personnage, elle attribue selon l'humeur du président les cartes d'identités virtuelles à 1000 points que l'on peut perdre si on n'est pas un bon grolandais. Sauf si on a une botte secrète, on pourrait quand on perd sa nationalité grolandaise se faire adopter par la Société Protectrice des Artistes Abandonnés qui attribuent aux artistes laissés sur le carreau des numéros pour exister...
Suivez-nous