Marc-André Lavielle

Parler de moi m’est difficile. Je suis plutôt du genre introverti. Même si beaucoup comptent sur moi pour animer les fêtes et les repas entre amis. Mais là, il s’agit d’une autre histoire dans laquelle l’alcool joue un premier rôle. Réservé mais festayre quand même.
Ma difficulté à me raconter (et à se la raconter) fait sans doute que j’écris. Et que j’utilise un pseudonyme uniquement connu de ma famille et de quelques amis (au risque que les autres me fassent la gueule). Cette utilisation ne veut pas dire que j’ai des choses à cacher (ah, tout de suite). A part peut-être, des centaines de vannes vaseuses et une cuisine jugée trop exotique.
Bon, puisque je suis protégé par mon pseudo, allons-y.
J’ai toujours vécu dans le Sud-Ouest. Jamais très loin de l’océan Atlantique. En Aquitaine. Même si je m’en suis souvent échappé pour de multiples voyages en France et à l’étranger. Personnellement (bon, je parle de moi, je parle de moi), je pense qu’être bien dans sa culture permet de mieux aborder, comprendre et respecter d’autres cultures. Tout déracinement est douloureux et l’émigration est d’abord un malheur pour les émigrés. (Si je ne décroche pas le Nobel après ça).
J’écris donc. Longtemps, je me suis interdit cette prétention. Bêtement. Écrire est trop vital pour un introverti. Alors, tant pis pour les lecteurs. Je ne recherche ni la notoriété (surtout pas) ni l’argent (encore que quelques aides pécuniaires pour réaliser de nouveaux voyages seraient les bienvenues). Et je ne crois pas être un grand malade.
Bon, vous savez tout. Pour de plus amples informations ou des critiques — constructives — sur mes livres, vous pouvez essayer de m’écrire (malavielle40@gmail.com). Une fois, j’ai répondu.