Yassine Loghmari

Yassine Loghmari

Yassine Loghmari, né le 22 février 1995 à Sousse, est un Grand romancier et homme de lettres tunisien, il est reconnu comme l'une des grandes figures importantes majeures de la scène littéraire arabe, il est surnommé "le Petit Prince" en référence à son autobiographie inédite «L'assassinat du Petit Prince», ce titre fait écho au célèbre personnage du livre Le Petit Prince d'Antoine de Saint-Exupéry, symbole d'innocence, de curiosité, de sagesse et d’intelligence, à travers sa biographie inédite, L’Assassinat du Petit Prince, Yassine Loghmari exprime une identification personnelle à ces valeurs, tout en y mêlant la souffrance extrême qu'il a vécue en Tunisie.Il a été lésé dans le milieu littéraire tunisien, dans son épreuve et même dans la défense de ce qu'il a traversé. Il est reconnu aussi Pour dénoncer l’injustice sociale face à l’oppression et aux régimes autoritaires tunisiens. En plus de son écriture de fiction, Yassine Loghmari contribue à des essais politiques et s'engage activement dans les affaires culturelles. Il est membre de l'Organisme Tunisien des Droits d'Auteur et des Droits Voisins (OTDAV) sous le ministère de la Culture de Tunisie, ainsi que de l'Assemblée internationale des écrivains et intellectuels arabes. En 2022, lorsque ses romans ont fuité vers le régime, celui-ci a découvert que Yassine Loghmari était un président potentiel de la Tunisie dans le futur et qu’il fallait l’assassiner car il porte les idées du Nouvel Ordre Mondial. Il est resté sous surveillance. En octobre 2023 Yassine s’est inscrit à l’ISG de Sousse en master FRM afin d’obtenir à nouveau ses papiers d’identité et de postuler pour un troisième master via Campus France. Son amie d’université, à la fois en licence et en master, Hela Rahmouni, a été envoyée par un groupe international pour s’installer dans sa région, à Sousse, afin de l’assister, par crainte qu’il ne soit assassiné ou qu’on ne lui fasse subir des expérimentations de médicaments et d’injections avec des substances destructrices de nerfs, comme cela lui était déjà arrivé en 2022. Yassine a tenté de faire croire au système qu’il ne menait aucune activité en dehors de ses études et de son travail, jusqu’à ce qu’il obtienne son deuxième master et son visa. Il a quitté définitivement la Tunisie en août 2024 pour se réfugier en France et a intégré le programme de master en économie et management des ressources humaines à l’Université Côte d’Azur à Nice. À Aéroport International de Monastir - Habib Bourguiba, une demi-heure après avoir terminé ses formalités d’enregistrement, une employée de l’aéroport a couru derrière Yassine en criant son nom et a tenté de barrer le visa étudiant qu’il avait obtenu. mais il s’y est opposé et l’a stoppée. Après l’avoir menacée de la dénoncer et de publier un article à son sujet avec sa photo et une video, il a découvert qu’un groupe l’avait contactée pour accomplir cet acte en échange d’une grosse somme d’argent.

parcours académique:

Après avoir obtenu un baccalauréat en sciences expérimentales en 2014, il ensuite etudié à l’université de sousse, en poursuivant une licence fondamentale en finance en langue française entre 2016 et 2019. Il enrichit ensuite son parcours par un master en analyse financière en anglais de 2019 à 2021 à l’université de sousse، mémoire Sous la direction de monsieur le professeur «Hassen ben janena» : « Corporate Social Responsibility and Extra Financial Reporting : Practical case of Biat » obtenant une mention "Bien" en 19 juillet 2021, avant d’entreprendre, en 2023, un second master en gestion des risques financiers en français à l’université de sousse, obtenant une mention "Très Bien" en 26 juin 2024, avec la note 17/20, mémoire Sous la direction de madame le professeur Ines kahloul : «Optimisation de la Performance Financière par l’intégration des pratiques de la Responsabilité sociétale des Entreprises : Etude de cas de la Société Générale. » . En septembre 2024, il a intégré un troisième Master en Économie et Management des Ressources Humaines (EMRH) à l’Université Côte d’Azur. Excellent mémoire Master 2, intitulé « Qualité de vie et conditions de travail dans le secteur bancaire : étude de cas de BNP Paribas » et dirigé par Madame le Professeur Julie De-Stefano, avait initialement obtenu la note de 16/20 avec la mention Très Bien, avant d’être ramené à 15/20 par l’administration avec la mention Bien. Il a validé ce cursus et obtenu le Diplôme National de Maîtrise en Droit, Économie, Gestion, mention Gestion des Ressources Humaines, parcours Économie et Management des Ressources Humaines. Yassine méritait indéniablement un diplôme plus élevé et des récompenses, grâce à la qualité exceptionnelle et approfondie de sa recherche de mémoire, à ses romans publiés en Allemagne, en Bulgarie et en Irak, ainsi qu’à ses diplômes antérieurs, et grâce à tous ses efforts, à ses sacrifices, ainsi qu’aux obstacles et défis qu’il a su surmonter. Ses recherches académiques se concentrent sur l’économie, le développement durable et la justice sociale dans l’environnement de travail. Il s’agit d’un engagement intellectuel qui transparaît tant dans ses trois mémoires (2021, 2024, 2025) que dans son roman en arabe Le Temps de la fatigue chronique, publié en Allemagne.

Le 18 septembre 2025, la psychologue de l’Université Côte d’Azur, Anaïs CORONADO, qui pratiquait la spiritualité de manière maléfique, a demandé à Yassine de venir au centre médical pour une troisième séance, elle lui a ensuite demandé de se reposer dans une chambre avant de rentrer chez lui. Quinze minutes plus tard, deux hommes sont entrés, accompagnés d’une ambulance stationnée au centre de l’université ainsi que de policiers. Ils ont tenté de forcer Yassine à être transféré Pour étouffer la vérité des injustices infligées à Yassine par la faculté . La maléfique Anaïs CORONADO a affirmé que le docteur Antoine Labarre, du centre médical maléfique du campus Saint-Jean d’Angély, soutenait cette décision également. Yassine a sollicité l’aide de sa sœur, Manel Loghmari (qui avait déjà reproduit en 2025, en France, la même histoire de magie et de spiritualité de 2022 en tunisie avec Colette Janvier Dogru Et toutes les deux ont détruit son stage et ses études et Yassine a obtenu 6/20 au stage au lieu de 20/20, et sa moyenne annuelle générale est de 13,15/20 au lieu de 15/20 et Madame Véronique Piovani, responsable du service, lui a décerné le diplôme national de maîtrise au lieu du Master 2.), mais celle-ci (Manel Loghmari) l’a abandonné en lui disant : « Fais face à ton destin seul. Mais Yassine Loghmari s’est défendu tout seul en invoquant les lois, malgré trente minutes de harcèlement et de pressions physiques. Grâce à son intelligence et à sa culture en matière de droits de l’homme, et de même grâce aux cours de droit international de la professeure Annie-Anouch Beaudouin, il a finalement triomphé et a pu quitter la chambre où ils l’avaient enfermé à l’Université Côte d’Azur centre médical maléfique. C’est l’assistante sociale de l’université, Jessica Chevalier, qui a demandé à Yassine de consulter la psychologue Anaïs, à condition de l’aider à obtenir un CROUS, des ressources financières et une exonération des frais d’inscription nationaux. Cela s’est avéré totalement faux et constituait un piège. Yassine Loghmari a demandé à plusieurs reprises de l’aide à l’assistante sociale Jessica Chevalier, mais celle-ci a refusé de lui venir en aide pendant l’année académique 2024-2025. Yassine est venu en France avec un contrat d’alternance proposé par le responsable du master, Ludovic Ragni, en partenariat avec le journal Nice Matin. Mais, une fois sur place, celui-ci lui a annoncé qu’aucun contrat d’alternance n’existait et l’a inscrit en formation initiale. Madame Claire Pitoy, responsable de master et gestionnaire pédagogique, lui a accordé une exonération des frais en le considérant comme un étudiant français, en reconnaissance de son excellence académique et littéraire. Et Yassine, depuis qu’il est venu en France, cherchait une alternance, un job étudiant ou un stage. Il n’a rien trouvé, sauf un stage d’été de 2 mois chez Start People en tant que consultant en recrutement. Les recruteurs lui disent qu’ils veulent des profils ayant de l’expérience professionnelle et des diplômes obtenus en France plutôt qu’à l’étranger. Nous pouvons en conclure qu’il existe beaucoup de racisme en France surtout sur la région 06. Et pendant ces trois séances, Anaïs CORONADO a essayé de convaincre Yassine qu’il n’était pas écrivain, qu’il n’avait publié aucun roman et qu’il ne possédait pas de diplômes tunisiens. Elle a tout fait pour le persuader qu’il n’était plus Yassine Loghmari. Mais Yassine a réussi à se libérer de son emprise.la ne s’est pas arrêté là : une infirmière a contacté Yassine sous prétexte de vouloir son adresse afin qu’on vienne le prendre de force. Lorsqu’il l’a menacée en lui précisant que l’appel était enregistré, elle a reconnu que c’était campus saint jean d’angely qui l’avait sollicitée pour accomplir cet acte criminel. Ses paroles glaçantes trahissaient une menace explicite : « Votre destin, selon le campus, sera celui d’un clandestin. Comme vous n’avez plus de famille, le jour où vous serez clandestin, on vous arrêtera dans la rue, on vous enfermera et on effacera votre identité, Comme nous l’avons fait avec beaucoup de migrants qui vous ont précédé.» Alerté, un diplomate est immédiatement intervenu et lui a intimé de rompre sans délai tout contact avec Yassine. Mise au pied du mur, l’infirmière a une nouvelle fois avoué que ses manœuvres répondaient aux ordres émanant du campus Saint-Jean d’Angely. Connue sous le prénom de Laure, elle officie au sein du C-DIP, situé 35 boulevard de la Madeleine, 06000 Nice. Ses numéros de téléphone sont les suivants : +33 6 09 32 63 89 et +33 6 13 60 94 95. le Commissariat Foch de la Police Nationale, situé au 1 Avenue du Maréchal Foch, 06000 Nice, a refusé d’enregistrer une plainte concernant les faits récents car Yassine Loghmari ne possède pas encore la nationalité française. Nous pouvons conclure qu’il n’y a pas d’humanité en France. Nous demandons toutefois au ministre de la Justice de France, Gérald Darmanin, ainsi qu’au président de la République française, Emmanuel Macron, d’accorder leur haute protection à Yassine Loghmari.

Œuvres littéraires:

Yassine Loghmari a plusieurs œuvres littéraires notables, caractérisées par son style distinctif et ses idées audacieuses, qui ont attiré l'attention des critiques. Parmi ses œuvres les plus significatives, on trouve :
· Le Temps de la fatigue chronique (2023) : Un roman en arabe publié en Allemagne.
· L'Horloger, forgeron du temps (2023) : Un roman en arabe publié en Bulgarie.
· La supercherie suprême (2024) : Un roman en arabe publié en Bulgarie.
· Les filles de l’âme tourmentée (2024): Un roman en arabe publié par la Fondation Abjad pour la publication et la distribution en Irak.
_-L’Assassinat du Petit Prince : récit autobiographique inédit : Elle raconte la souffrance humaine vécue par Yassine en Tunisie et toutes les injustices qu’il a subies. Les maisons d’édition ont refusé de la publier, craignant d’être écartées de la scène littéraire.

la critique littéraire:

Son œuvre a suscité un vif intérêt dans le monde arabe et a été saluée par de nombreux intellectuels, parmi lesquels :

Dr. Aqil Hachem (Irak) : 3 articles
Dr. Ali Lafta Saeed (Irak) : 1 article
Karam Sabbagh (Égypte) : 1 article
Taleb Imran Al-Maamouri (Irak) : 2 articles
Ahmed Al-Arabi (Syrie) : 2 articles
Moayad Aloui (Irak) : 4 articles
Dr. Taleb Hachem Badhan (Irak) : 1 article
Dr. Oussama Al-Mahdi (Arabie saoudite) : 1 article
Dr. Abdallah Al-Arfaj (Arabie saoudite) : 1 article

Distinctions et reconnaissances :

En 17 mai 2024, Yassine Loghmari a été honoré par Societé Générale ( Filière de l’Union Internationale des Banques) à M’saken, en Tunisie, pour ses contributions dans le secteur bancaire.

Le Dr. Aqil Hachem, originaire d'Irak, lui a consacré trois articles publiés dans plusieurs journaux prestigieux à Londres, en Irak, au Maroc, en Égypte et en Italie. À son sujet, il a déclaré : En somme, “Le temps de la fatigue chronique” est une œuvre captivante, riche en réflexions et en critiques sociales. Malgré sa profondeur et son exploration des thèmes politiques, sa prose poétique et évocatrice séduit le lecteur, l’incitant à poursuivre sa lecture. La voix du narrateur Yassine Loghmari, à la fois lucide et désenchantée, appelle à un retour à l’humanité, à la solidarité et à la responsabilité sociétale. Finalement Le romancier créatif Yassine Loghmari réussit à transmettre un message d’espoir et de résistance, mettant en lumière les luttes d’un individu face à un système Tunisien oppressif. La quête de sens et de liberté de son protagoniste résonne comme un appel à la réflexion et à l’action, soulignant l’importance de l’engagement humain dans un monde souvent déshumanisant.

Le critique Syrien Ahmad Al-Arabi, originaire de syrie, lui a consacré 2 articles publiés dans plusieurs journaux prestigieux à Irak, au Maroc, en Syrie, en Égypte et en Italie. À son sujet, il a déclaré : «je ne peux que saluer la profondeur d’analyse et la maturité avec laquelle Yassine Loghmari aborde les complexités de l’âme humaine. L’œuvre réussit à dépeindre la réalité du déclin social en Tunisie, mettant en lumière des dynamiques familiales destructrices et les préjugés entourant les maladies mentales. Yassine Loghmari ne s’attarde pas sur le contexte politique actuel, mais fait subtilement référence à des événements marquants, suggérant que les défis contemporains demeurent. La force du récit réside dans sa capacité à faire entendre la voix de ceux qui souffrent, tout en rappelant que la responsabilité de cette souffrance incombe en partie à la société elle-même. Ce roman est un puissant plaidoyer pour la dignité humaine et la nécessité d’un changement sociétal, invitant à réfléchir sur les droits et la reconnaissance de chacun, qu’il soit enfant ou adulte, homme ou femme.»

Son parcours littéraire a été jalonné de tensions graves au sein des cercles culturels tunisiens. Un des conflits les plus marquants c’était à l’écrivain tunisien Kamel Riahi d’avoir orchestré une campagne de dénigrement contre son premier roman L’Horloger, forgeron du temps. Ce dernier, qui devait initialement être publié par la maison palestinienne Tout pour la lecture, ne verra jamais le jour, victime d’une stratégie visant à entraver la progression littéraire de Yassine Loghmari.

Ses écrits engagés, en faveur de la justice sociale et climatique, lui ont également valu des pressions politiques en Tunisie. Certaines factions auraient tenté de lui créer des obstacles professionnels et familiaux, le privant ainsi de toute reconnaissance institutionnelle. Son indépendance intellectuelle et son approche libérale l’ont fait apparaître comme une figure subversive dans le paysage culturel tunisien.

De plus, certains écrivains tunisiens auraient soumis ses manuscrits inédits aux universités Tunisiennes où il avait étudié, interrogeant sa capacité à produire des œuvres aussi prolifique tout en poursuivant son cursus académique. Ils ont également tenté d’influencer ses professeurs afin de le dissuader de publier, sous prétexte que son écriture critique allait à l’encontre des normes traditionnelles tunisiennes

Un écrivain à la conquête du monde
Malgré ces embûches, Yassine Loghmari a su ouvrir les portes de l’édition internationale grâce à une écriture imprégnée de techniques narratives universelles et d’une prose d’une grande musicalité. Pourtant, selon certaines sources «Kamel Riahi» à tout détruit. Des autre ecrivains tunisiens auraient cherché à torpiller une opportunité de publication aux Pays-Bas et une bourse littéraire qui aurait pu lui être accordée.

Son roman autobiographique Le Temps de la fatigue chronique a particulièrement fait polémique. Ce récit poignant retrace une expérience qu’il a vécue au sein d’une grande banque tunisienne appartenant à l’homme d’affaires Marouane Mabrouk, gendre de l’ex-président déchu zine-abidine Ben Ali. Il y dénonce les pratiques d’un système financier gangrené par la servitude et le blanchiment social et le blanchiment d’argent. Un écrivain tunisien, cherchant à lui nuire, aurait soumis ce manuscrit inédit à l’institution bancaire concernée, provoquant de lourdes conséquences. Bien que Yassine Loghmari n’ait jamais cité le nom de la banque, une université tunisienne aurait été à l’origine de la fuite de cette information, déclenchant une violente réaction de l’établissement. Ce livre met en lumière les rouages opaques d’une économie dominée par des figures du capitalisme clandestin, incarnées par Marouane Mabrouk et toutes les bandes tunisiennes. Une professeure universitaire a accusé la banque de complicité avec un restaurant pour avoir servi à Yassine du fromage de preparation chaud après sa soutenance de mémoire de master en analyse financière en 2021, ce qui a complètement érodé l’émail de ses dents, car la banque avait catégoriquement refusé que Yassine discute de son mémoire qui révélait leur vérité.Mais il l’a soutenue et a obtenu la note de 15/20. Alors, ils ont décidé de le punir d'une manière sournoise. Et Marwan Mabrouk, qui se trouvait alors en Amérique, voulait Yassine à tout prix.

En raison de ses idées sur l'aide aux personnes, à travers son appel à la justice climatique, sociale et financière, certains écrivains tunisiens ainsi qu’une écrivaine et professeure universitaire tunisienne l’ont menacé de l’emmener en Syrie pour l’y tuer, comme cela s’était produit avec certains jeunes après la Révolution du Jasmin en 2011 en Tunisie.

Exactement comme ce qui est arrivé à un étudiant en troisième année de médecine à Sousse, en Tunisie : des agents de l’État tunisien l'ont enlevé de force, violemment, sous les cris désespérés de sa mère. Ils l'ont déporté vers la Syrie, et deux semaines plus tard, elle a reçu la nouvelle de sa mort — sans qu’aucune instance ne soit là pour qu’elle puisse porter plainte ou demander justice.

L'une des violations les plus atroces survenues après la révolution, surtout en l'absence de responsabilité et de transparence. Ce n’est pas seulement une tragédie individuelle, mais elle incarne un visage extrêmement sombre de la période post-révolutionnaire en Tunisie après 2011. Des jeunes sont enlevés par des groupes soupçonnés d’être liés à des appareils sécuritaires. Ils sont déportés sans que leurs familles en soient informées ou donnent leur consentement, et souvent en dehors de tout cadre légal.

Dans le texte romanesque tunisien de Yassine Loghmari, tiré de son autobiographie inédite L’Assassinat du Petit Prince, il écrit : "Une écrivaine et professeure universitaire tunisienne a envoyé mes romans à une entité politique obscure en Tunisie, accompagnés d’une recommandation les incitant à s’opposer à moi, sous prétexte que mes penchants littéraires étaient en contradiction avec mes orientations académiques scientifiques. Elle a prétendu que mes œuvres faisaient appel à la justice sociale, climatique et financière. Ensuite, elle a appelé à mon expulsion vers la Syrie, comme cela se produisait après la révolution avec certains jeunes Tunisiens qui avaient démontré des niveaux élevés de conscience ainsi que des capacités et talents artistiques en décalage avec leurs spécialisations académiques. Contrairement à d’autres, ils étaient alors expulsés et assassinés par la suite, tandis que la responsabilité en était imputée au jihad."

Les enquêtes et les procès se poursuivent aujourd’hui dans une affaire d’une extrême sensibilité, où s’entrelacent les fils de la politique et de la religion, du droit et des intérêts particuliers. Cette affaire, marquée par la condamnation d’un grand nombre de personnalités influentes — politiciens, magistrats, imams et même des associations —, compte parmi les épisodes les plus sombres de l’histoire récente de la Tunisie en matière d’injustice envers sa jeunesse. Dans un développement significatif, la justice tunisienne a prononcé, le 2 mai 2025, une peine de 34 ans de prison contre l’ancien chef du gouvernement, Ali Larayedh, ainsi que contre de nombreux responsables politiques impliqués dans ce que les médias appellent désormais « l’affaire de l’envoi des jeunes en Syrie ».

Face aux agressions subies, la militante tunisienne des droits humains à Abou Dhabi, Soundès Ben Ammar, est intervenue pour lui restituer son passeport confisqué. L’ambassade des Pays-Bas a également tenté d’alerter les autorités tunisiennes, mais le climat répressif n’a permis aucune issue favorable.

Une descente aux enfers et une renaissance Plongé dans une détresse profonde, voyant des années d’efforts anéantis, Yassine Loghmari sombre dans un état d’abattement et une dépression extreme. Un professeur le contacte pour l’informer que son inscription en doctorat serait rejetée, son statut caché d’écrivain et toutes les polémiques sur lui et sur ses idées étant perçu comme une entrave à son avenir académique.

L'année 2022 a été l'une des années les plus difficiles qu’il a vécu. La nuit du 14 août 2022, un soir, sa mère le retrouve effondré derrière la porte, suffoquant, entrecoupé de râles, les paupières s’ouvrant et se fermant dans un état de semi-conscience à cause de tout le mal qu'ils lui ont fait. Transporté d’urgence à l’hôpital, il est plongé dans le coma et admis en soins intensifs. Après s'être réveillé de son coma après de nombreuses injections médicales, il s’est retiré du monde pendant une année entière. Sa mère l’a aidé pendant une année entière à retrouver une partie de sa santé. Mais son horreur ne l’empêche pas de poursuivre son œuvre. Il a traversé une grande souffrance en tunisie, dont il a raconté la plupart dans son autobiographie «l’assassinat du Petit Prince» il a failli même devenir paralysé. Une dépression très aiguë a été diagnostiquée chez lui, et n’a jamais été traitée

Lorsque Yassine est sorti de l'hôpital, il était dans un état de santé dégradé, titubant à chaque pas, comme si son corps était sur le point de l'abandonner complètement. Il était sur le point de devenir paralysé. Pour qu'il arrête d'écrire et oubli le monde des écrivains, un de ses frères aînés a profité de cette faiblesse physique et mentale et de sa solitude pour comploter avec un groupe qui était responsable de l'aggravation de sa crise. Il a commencé à s'immiscer dans son esprit en empoisonnant ses pensées, nourrissant ses sentiments de trouble et d'anxiété, au point de le mener à la frontière de la folie. Cela ne lui suffisait pas ; il s'est battu de toutes ses forces pour le pousser à la folie, Il continuait à glisser des médicaments dans sa nourriture jusqu’à ce qu’il perde la raison. dans le but de le faire interner dans un hôpital psychiatrique. Dans une autre tentative de contrôle, il a cherché à l'enfermer dans une chambre sombre dans le jardin de la maison. Cependant, son voisin, a réussi à sauver Yassine à la dernière minute.

Dans une ultime tentative, et sous la surveillance de l’État tunisien, son frère Mohamed Ali a recruté deux infirmiers et six autres personnes pour l’enlever dans la rue et le transporter à l’hôpital, dans le but de lui injecter à deux reprises une dose de méthamphétamine ainsi qu’une autre substance inconnue, afin de lui faire perdre totalement le contrôle de ses nerfs. Cet acte criminel a provoqué une grave décompensation nerveuse, accompagnée de cris violents, d’une chute brutale du taux de sucre dans le sang et d’une hypotension. Malgré cet état critique, Yassine, à demi-inconscient, continue à se déplacer difficilement entre les postes de police, les avocats et le procureur de la République, sans trouver ni issue ni justice. Ce qui s’est passé constitue une violation flagrante des droits humains en Tunisie, et un crime relevant de la torture psychologique et physique. Yassine a été soumis de force à des substances destructrices, sans aucune justification médicale ou légale, dans un contexte de règlement de comptes politique et de vengeance personnelle, couvert par les institutions de l’État tunisien.

Malgré ces persécutions, Yassine Loghmari bénéficie du soutien d’éminentes figures du monde littéraire arabe, notamment la romancière algérienne mondiale Ahlem Mosteghanemi, ex-ambassadrice de l’UNESCO pour la paix.

Soucieuse de son avenir, elle cherche à l’accueillir à Beyrouth et avec d’autre écrivains ont pris contact indirectement avec sa famille, qui découvrent avec stupéfaction son talent caché. Son choix de devenir écrivain heurte profondément sa famille, qui considérait la littérature comme un domaine réservé aux filles. En tentant de dissimuler ses aspirations, ses proches l’ont trahi, déclenchant chez lui un sentiment de désillusion et de douleur.

À travers son combat, Yassine Loghmari incarne le dilemme de la jeunesse créative en Tunisie, confrontée aux tensions entre tradition et liberté d’expression. Son parcours, empreint de souffrance et de résistance, témoigne de la complexité des dynamiques culturelles et politiques du monde arabe contemporain.

Son engagement littéraire est un acte de survie, une manière de combattre le silence et l’oubli. Il s’est forgé une identité d’écrivain dissident, prêt à affronter les regards méprisants pour donner une voix aux âmes tourmentées. Son histoire est celle d’un enfant brisé qui s’est relevé, d’un rêveur que l’on a tenté d’assassiner.

Le Dr. Taleb Hashim Badin, originaire d'Irak, lui a consacré aussi un article publié dans plusieurs journaux prestigieux à , en Irak, en Égypte et en Italie. À son sujet, il a déclaré : « Le roman “Le Temps de la Fatigue Chronique” de Yassine Loghmari dresse donc une fresque complexe et crue des réalités tunisiennes contemporaines, où l’individu se retrouve piégé entre l’espoir et la soumission, et où le capital règne en maître, rendant difficile toute émancipation. »

Le critique irakien Taleb Imrane Al-Maamouri lui a consacré trois articles publiés dans plusieurs journaux prestigieux en Irak et en Égypte. À son sujet, il a déclaré : Par sa richesse narrative, son exploration des profondeurs de l’âme humaine et son audace stylistique, la supercherie supreme impose comme un roman d’une intensité rare. Le grand romancier Yassine Loghmari y démontre une parfaite maîtrise des mécanismes du récit psychologique, tout en renouvelant les formes du genre. Il offre ainsi une lecture troublante et captivante, où l’illusion et la vérité Tunisienne se confondent dans un jeu de miroirs fascinant.

Parmi les avis de certains lecteurs qui ont été impressionnés par son roman Le Temps de la Fatigue Chronique et l'ont considéré comme un exemple pour une nouvelle génération : "Le roman Le Temps de la Fatigue Chronique de notre creative romancier Yassine Loghmari résume la souffrance d'un jeune homme qui exerce un travail épuisant sur des questions économiques et sociales afin de s'élever et de progresser. L'œuvre est dotée d'une langue littéraire d'une rare qualité en arabe, et d'une narration qui touche profondément la sensibilité et l'humanité, nous faisant ressentir de la honte face à cet amoncellement d'incivilité dans nos sociétés. Nous recommandons à tous de le lire si possible."

Yassine disait : «Je ne comprends pas la raison de ce qui m'est arrivé. Tout ce que j'ai vécu me semble désormais dénué de sens. Ma vie n’a plus de signification, je me sens brisé, écrasé de l’intérieur, vidé de toute substance. On dit que cela arrive à chaque génération d’écrivains, dans chaque pays... Mais pourquoi moi ? J’ai mené une vie pleine d’épreuves, de douleurs, de défis. Je voulais enfin goûter au repos, et voilà qu’un écrivain tunisien, vivant dans le confort au Canada, a déclenché une guerre dans ma vie — sans que je ne l’aie jamais rencontré, sans aucun lien entre nous. Chaque jour, je demande à Dieu pourquoi cela m’est arrivé, et je ne trouve pas de réponse. Je me sens perdu, seul. Ce sentiment abject de mort m'habite, ce désir de quitter ce monde qui penche vers la ruine. Je veux m'accrocher à quelque chose, n'importe quoi, pourvu que cela me donne l’impression d’être encore vivant. Je sais pas si ceux qui n’ont pas eu de fin heureuse dans leur vie renaissent pour essayer d’obtenir enfin cette fin heureuse, parce que je me sens si fatigué, comme si j’étais né cent fois en tentant d’atteindre une fin heureuse.et à chaque fois, j’obtiens une fin malheureuse. Si cela est vrai, cela m’est égal, mon âme est tellement déchirée au point que si j’obtiens une fin malheureuse dans cette vie, je ne renaîtrai plus jamais. » J’ai lu plus de huit cents livres, naviguant entre la psychologie, la sociologie, le roman et l’économie à la recherche d’un sens, d’une phrase, d’une justification à ce qu’ils m’ont fait — sauf dans le Livre de Dieu : «Il y a dans leurs cœurs une maladie, et dieu laisse croître leur maladie. Ils auront un châtiment douloureux »

Le critique syrien Ahmad Al-Arabi, dans le journal Uruk relevant du ministère de la Culture irakien, déclare : « J’ai profondément interagi avec le roman Le Temps de la fatigue chronique de l’écrivain Yassine Loghmari, au point de me sentir partie intégrante de ses événements. Je me suis immergé dans son atmosphère comme je me suis plongé dans les profondeurs de mon propre esprit et de mon âme. Pour moi, cela signifie qu’il a exprimé, avec sincérité et brio, une condition humaine qui m’a happé. C’est là que le roman réussit ou échoue. Sur le plan personnel, dans le monde du protagoniste du roman, il est triste de ne pas trouver, parmi les millions d’humains autour de soi, un ami fidèle à qui confier les élans de son âme, à qui parler de ses cauchemars et de ses rêves. Il est triste de ne pas avoir une amante qui te place dans son cœur, que tu places dans ta conscience et ton être, avec qui tu construis des rêves qui se réalisent par la fondation d’une famille luttant contre l’injustice de la vie, pour une vie meilleure. Il est navrant de ne trouver aucun modèle politique représentant tes aspirations, auquel t’identifier pour réaliser, à travers lui, le sens de ton existence. Navrant aussi de ne pas avoir une famille qui te soutienne dans l’aisance comme dans l’épreuve, face à toutes les difficultés de la vie. Il est affligeant d’être un être humain dans un pays qui te réduit à un simple échelon de l’échelle de l’oppression sociale : victime de ceux d’en haut, et oppresseur envers ceux d’en bas — une équation de loups qui se déchirent sans répit. Puis, tu découvres que tu vis dans un pays gouverné par des régimes “à la tunisienne” qui ne pensent qu’à te vendre, toi et ta patrie, au prix le plus bas, pour empocher ton prix et le livrer à la gueule du diable qui engloutit le monde. C’est ce que j’ai ressenti en suivant l’histoire de notre protagoniste dans son autobiographie. »

L’avis du penseur saoudien et éminent docteur en sociologie, Abdullah Al-Arfaj : « Ce furent des jours à la fois douloureux et captivants passés avec l’univers romanesque de "Le Temps de la fatigue chronique" et "L'horloger, forgeron du temps" de l’écrivain tunisien Yassine Loghmari. Bien que différents, ces deux récits sont reliés par un même fil conducteur : la maladie, la corruption des relations humaines, et la quête d’un salut. Ils résonnent comme un cri aigu mais étouffé face à un monde tunisien sauvage et délabré. Les espaces y sont restreints, mais d’une grande intensité et agitation. Le lieu y est omniprésent, tandis que le temps s’y insinue discrètement. Des œuvres plus que remarquables, révélant un auteur parfaitement maître du langage romanesque arabe, qui avait devant lui un avenir tellement brillant – si seulement les mauvaises gens de Tunisie l’avaient laissé en paix»

En quelques mots

À quel âge avez-vous commencé à écrire ? 15 ans
Quel est votre auteur favori ? Sylvia plath
Quel est votre style littéraire préféré ? Romance

Les livres de l'auteur

Cet auteur ne propose pas de livre à la vente sur notre site pour le moment.