DECHIREMENTS ET DECHIRURES

« Déchirements et déchirures » ?... Il est surtout question de déchirures, même quand c’est le verbe déchirer qui est inscrit dans le poème. Si le premier poème est de 1965, le deuxième de 1966 et le troisième de début 1967, les autres sont postérieurs à un très grave accident dont le poète a eu du mal à se remettre, si tant est qu’il s’en soit entièrement remis. Suite à cet accident, il se retrouvait encore plus différent des autres, solitaire plus seul encore, « déchiré » entre son besoin du monde et son rejet de ce monde-là. Si le déchirement n’est pas noté, il est quand même très présent.