Discours sur les Marbres du Parthénon

De 1799 à 1803, Thomas Bruce, Comte d’Elgin, septième du nom, Ambassadeur du Royaume-Uni en Turquie puis Ambassadeur de Grande-Bretagne et d’Irlande d

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Référence : 312638

Reliures : Dos carré collé

Formats : 11x17 cm

Pages : 102

Impression : Noir et blanc

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Autour de Vincent Pellegrini

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À propos de l'auteur

Jeune auteur franco-américain, Vincent Pellegrini vit depuis sa plus tendre enfance à Vienne, en Autriche. Agé de treize ans, il est aujourd'hui en classe de troisième au Lycée français de Vienne. Il a très tôt nourri une passion pour les livres et les mathématiques, le latin et le grec, l'Espagne et la Grèce. Les marbres du Parthénon, son discours à la manière de Cicéron, chantent, à travers son réquisitoire contre Lord Elgin, son engagement pour que les chefs-d'oeuvre de l'Acropole reviennent enfin à Athènes.

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Résumé

De 1799 à 1803, Thomas Bruce, Comte d’Elgin, septième du nom, Ambassadeur du Royaume-Uni en Turquie puis Ambassadeur de Grande-Bretagne et d’Irlande dans l’empire ottoman, profita de son mandat à Constantinople pour ravir avec violence quantité d’œuvres d’art et de sculptures de la Grèce antique, principalement des marbres, d’où vint le nom fallacieux qui fut donné à sa collection : les Marbres d’Elgin.
Ce Discours sur les marbres du Parthénon est écrit à l'imitation de Cicéron invectivant Verrès et ses larcins en Sicile, par un jeune latiniste et helléniste passionné d’à peine treize ans, par un amoureux de la Grèce et de la culture antique, contre les rapines d’Elgin et ses déprédations sur l’Acropole.

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