Serge Di Credico

Le 31 février d'Éduardo Ferrenze

Éduardo Ferrenze ne peut désormais que l’affirmer : le 31 février existe.
Ce jour-là, le polémiste maudit perdit tout, oublia tout, y compris celle q

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340916

Reliures : Dos carré collé

Formats : 12x18 cm

Pages : 152

Impression : Noir et blanc

N° ISBN : 9791041564613

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Le 31 février d'Éduardo Ferrenze
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Éduardo Ferrenze ne peut désormais que l’affirmer : le 31 février existe.
Ce jour-là, le polémiste maudit perdit tout, oublia tout, y compris celle q

Autour de Serge Di Credico

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À propos de l'auteur
À la question « Pourrais-tu aujourd’hui nous parler de tes personnages ? », je serais sans doute tenté de répondre : - Qu’ils sont là depuis toujours, dans ma mémoire - ou dans mes gênes -, attendant le moment, l’environnement propice pour se manifester. - Qu’ils m’attendent, au contraire, à la croisée des chemins ; compagnons d’un jour ou d’une vie prompts à m’ouvrir la porte de leur univers. - Qu’ils naissent, de temps à autre, d’un souvenir tenace, d’une douleur indomptée, d’une absence ; bien qu’ils semblent, la plupart du temps, échapper à toute analyse. - Qu’à peine créés, les plus téméraires deviennent aussitôt insaisissables, s’affranchissant de la plume qui les a dégrossis. - Que d’autres, à l’inverse, prennent le temps nécessaire pour se charger au fil des pages d’ombre et de lumière. - Qu’un prophète irrité par notre inconséquence, se glisse parfois parmi eux et revient hanter nos murailles. j’ajouterais - me gardant bien d’aller le crier sur les toits -... En savoir +
Résumé
Éduardo Ferrenze ne peut désormais que l’affirmer : le 31 février existe.
Ce jour-là, le polémiste maudit perdit tout, oublia tout, y compris celle qui depuis toujours habitait son cœur. Voyant arriver la fin, il plaida si bien sa propre cause qu’une porte s’ouvrit, puis d’autres encore. Projeté dans un incessant tumulte où les masques n’en finirent pas de tomber, il croisa tour à tour la noblesse, la grâce et, trop souvent hélas, la face hideuse de la déraison.
À l’approche de la toute dernière porte, le silence se fit.

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