VICTOR HUGO

LES CHANSONS DES RUES ET DES BOIS

LE CHEVAL. Je l'avais saisi par la bride; Je tirais, les poings dans les nœuds, Ayant dans les sourcils la ride De cet effort vertigineux. C'était le

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195880

Reliures : Ibico

Formats : 21x29,7 cm

Pages : 155

Impression : Couleur

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LE CHEVAL. Je l'avais saisi par la bride; Je tirais, les poings dans les nœuds, Ayant dans les sourcils la ride De cet effort vertigineux. C'était le

Autour de VICTOR HUGO

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Résumé
LE CHEVAL. Je l'avais saisi par la bride; Je tirais, les poings dans les nœuds, Ayant dans les sourcils la ride De cet effort vertigineux. C'était le grand cheval de gloire, Né de la mer comme Astarté, A qui l'aurore donne à boire Dans les urnes de la clarté; L'alérion aux bonds sublimes, Qui se cabre, immense, indompté, Plein du hennissement des cimes, Dans la bleue immortalité. Tout génie, élevant sa coupe, Dressant sa torche, au fond des cieux, Superbe, a passé sur la croupe De ce monstre mystérieux. Les poètes et les prophètes, Ô terre, tu les reconnais Aux brûlures que leur ont faites Les étoiles de son harnais. Il souffle l'ode, l'épopée, Le drame, les puissants effrois, Hors des fourreaux les coups d'épée,...…..
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