Si j'ai raison ...

"L'apprentissage en question..." avait été un échec auprès des institutionnels. C'était évidemment un désaveu: Qu'étais-je allé me mêler de dire que l'apprentissage ne lavait pas plus blanc que blanc, que ses performances se limitaient, en partie au domaine professionnel.
Avec "Et si j'ai raison..." je persiste et signe. L'approche est différente: -au lieu de décrire ce que sont les formés en très forte discrétion avec les compétences générales incontournables, j'ai opté pour la transcription d'interviews de jeunes (et moins jeunes) en déficit important de prérequis minimum. J'ai ensuite décrit les procédures que nous avions utilisées lors des expérimentations qui visaient à construire ce qui ne l'avait pas été.