qui je suis, d'où je sors, d'où je parle.
Je suis né chez les riches, Auteuil Neuilly Passy, né à Neuilly, habitant Auteuil, élevé à Passy,
J'ai été élevé riche, avec mes études Jésuites, Polytechnique puis INSEAD.
Mais je n'ai jamais aimé ces richesses, car je m'intéressais à mes joies et mes peines, et ne les trouvais pas dans mes consommations matérielles mais dans mes relations, avec les êtres et les choses.
Pour toute société, il est difficile et pénible d'allumer la lumière dans sa partie obscure.
Or concernant le gratuit, le management moderne cultive systématiquement le pire obscurantisme, pour cultiver la croissance des volumes financiers, qui se fait par la destruction systématique de nos richesses, pour augmenter nos besoins en activité et emplois.
Les riches en argent y renforcent leur pouvoir par nous appauvrir et asservir tous.
Alors que produire plus et mieux avec moins augmente les richesses mais diminue l'argent.
Le but des études et de la carrière professionnelle est de savoir croitre les ventes et les bénéfices .
Il ne s'agit pas d'apprendre à rendre un meilleur service, il s'agit d'apprendre à faire davantage d'argent en croyant, mensonge propice, que c'est pareil.
C'est bien, on apprend à y traiter une contrainte, faire de l'argent, mais c'est de l'obscurantisme de la croire finalité.
D'autant plus ridicule que l'inverse est évident, la bonne prestation c'est plus et mieux avec moins, donc moins de volumes d'argent pour un meilleur service, moins de marchés et d'argent pour davantage de ressources c'est bien plus riche !
La productivité c'est le culte de la paresse. Pas la productivité aval du père fouettard, mais la productivité amont de l'amélioration conceptuelle des processus.
Elle s'applique aux maths autant qu'en économie : plus vite au résultat avec moins de travail.
Plus de richesses avec moins d'argent.
C'est la croissance du gratuit, pour la croissance de nos richesses, puissance et libertés, par la séparation des finances et des médias.