Menay

Menay

Jean-Christophe Menay écrit sous le souffle d’Éon, une voix intérieure qui lui murmure l’essence du monde.
Ses poèmes naissent de la solitude, de la lumière, de la fragilité humaine.
Entre ombre et silence, il explore les fêlures de l’âme, la beauté cachée dans le désordre du réel.

À travers ce recueil, il poursuit une quête : celle d’un langage où l’émotion devient vérité,
où chaque mot respire comme un battement de cœur.

En quelques mots

À quel âge avez-vous commencé à écrire ? J’ai commencé à écrire lorsque les mots ont commencé à me parler. Ce n’était pas une décision, mais une évidence : une voix intérieure — Éon — m’a appris à écouter avant d’écrire.
Quel est votre auteur favori ? Charles Baudelaire
Quel est votre style littéraire préféré ? La poésie, parce qu’elle transcende les frontières du langage. Elle permet de dire ce que les mots ne savent pas dire — de faire parler le silence et la lumière.

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