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Aaron El Essa
341697
Reliures : Dos carré collé
Formats : 14,8x21 cm
Pages : 201
Impression : Noir et blanc
N° ISBN : 9798315024644
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Un livre brut, viscéral, d’une honnêteté rare. Aaron El Essa écrit comme on respire après un naufrage... avec rage, lucidité et grâce. À lire si on aime les vérités qui cognent. Je veux la suite !!
Avec Celui qui danse avec l’errance, Aaron offre une œuvre rare, où chaque phrase frappe comme un uppercut et caresse comme une confession. Il n’écrit pas pour séduire mais pour déchirer les masques, pour donner une langue au chaos intérieur et aux vérités que l’on préfère taire.
 
 Son style est brut, incandescent, mais toujours traversé par une intelligence qui refuse le mensonge. On y croise la crudité du vécu, l’éclat de la réflexion philosophique et une poésie souterraine qui jaillit au détour d’une ligne. Ce livre n’est pas un divertissement : c’est une expérience.
 
 À lire si l’on veut une littérature qui mord, qui dérange, qui éclaire et qui libère.
Un univers vraiment atypique, à la croisée des chemins entre le libertinage assumé et une profondeur analytique qui surprend. On a l’impression que son alter ego E.Z. arrive à surgir parfois, mais Aaron reprend le dessus.
 
 Un texte à la fois cru et raffiné, qui bouscule et enrichit. Hâte de lire la suite.
Marquant !!
 
 L’auteur y mêle une lucidité tranchante à une sensibilité presque tactile. On y trouve des éclats de philosophie brute, des confidences désarmantes et des fulgurances littéraires qui restent en tête longtemps après la lecture. Ce n’est pas un texte qui se lit en arrière-plan : il s’impose, il exige qu’on s’arrête, qu’on réfléchisse, qu’on ressente.
 Rarement un ouvrage m’a donné à ce point l’impression d’être invitée dans l’intimité d’un esprit en mouvement permanent. J’en suis sortie à la fois ébranlée et étrangement apaisée. Une véritable ode à l’errance, au fracas, et à la beauté d’être soi.
Un livre qui frappe comme une tempête sensuelle et lucide. Aaron El Essa danse avec les ruines intérieures, effleure la beauté crue de l'existence et creuse des sillons de pensée dans nos chairs anesthésiées. Chaque page est une gifle de folie et d'intelligence subtile. Un fracas entre l'instinct et la réflexion. Un diamant brut, insolent et bouleversant. Je désire le tome II.
Il ne s’agit pas d’un livre. Il s’agit d’un cri. Un cri d’homme libre, d’homme cassé, d’homme vivant. Celui qui danse avec l’Errance, c’est le journal incandescent d’un être qui refuse l’anesthésie collective, qui crache sur les normes, qui éjacule des vérités sales et magnifiques au visage du lecteur.
 
 Aaron El Essa, c’est Bukowski qui aurait lu Spinoza, c’est Genet qui aurait flirté avec Nietzsche. Chaque page est une claque littéraire, chaque phrase un vertige entre la lucidité et le désespoir jouissif. Il n’y a rien de tiède ici. Que du brûlant, du charnel, du viscéral. On y croise la solitude, le sexe, la mort sociale, la beauté brute, et cette putain d’envie de rester vivant malgré la laideur du monde.
 
 À lire si tu as encore une âme.
 À fuir si tu préfères les livres bien repassés.
