Je trouve que votre article est justifié, logique et ce que j'aime sans jugement's', avec de l'espérance comme vous dites d'ailleurs. Je suis entièrement d'accord avec vous quand vous dîtes que parfois on se sent obligé de lire car soit on est 'conditionné' par le nom de l'auteur ou de la maison d'édition.C'était un des grands problèmes que j'avais étant scolarisée, je pense pas qu'il y'ait que les auteurs dit classiques qui ont du talent ou les découvertes des grandes maisons d'éditions.En tout cas je suis peut être aussi une écrivaine ratée , mais je prends tellement de plaisir à écrire et je sais que je peux selon les goûts parfois en donner et çà suffit je trouve parfois à être heureux , ou heureuse.
Merci Isabelle '2' (il ya déjà une Isabelle sur ce 'post'). Vous avez retrouvé, pour le vigoureux atrabilaire que je suis trop souvent, cette formule essentielle : 'Je prends tellement de plaisir à écrire...'
Bravo Isabelle, le plaisir d'écrire est l'essentiel. Ce qui compte, c'est d'être un écrivaillon autoédité heureux et sans aigreur ! De toute manière, dans cent ans, il ne restera pas grand chose de toutes nos 'bafouilles', pas plus que de celles éditées par les grands, les moyens ou les petits éditeurs !
Merci, Novi, pour ce lien. En voilà un qu'il faut interviewer avec un casque et des protège-dents. Quand on a vécu ce dont on parle, ça facilite l'écriture. Et quand ce que l'on a vécu sort de l'ordinaire, ça fait un bon livre. Cela dit, je le trouve un peu tourmenté, ce Williamson. Difficile de trouver grâce à ses yeux si l'on est pas un dur-à-cuire dans son genre. Authenticité et ambition, voilà son mot d'ordre. Et pas besoin d'écrire mille livres : un seul suffit, s'il est bon. Synovie : j'ai fait récemment réciter 'Le corbeau et le renard' à ma petite fille, pour son école. Il y a des auteurs dont on parle encore plus de trois siècles après leur mort. C'est, naturellement, notre ambition à tous...
J'ai lu dans votre profil que vous vous avouez timide, complexé, inhibé, manquant d'aisance dans vos rapport avec autrui. Entre les lignes, je vous ai surtout trouvé très respectueux envers les autres, tout simplement... J'adhère à tout ce que vous écrivez dans ce post qui a suscité moult réactions. C'est vrai que je me dis écrivain, non par prétention mais parce que le besoin d'écrire me hante depuis l'âge de 12 ans, même si je ne sais absolument pas me promouvoir, la preuve, je n'ai encore jamais fait la pub de mes livres sur ce forum ! J'ai pourtant publié 10 ouvrages chez ThebookEdition, après avoir tenté l'édition, la pseudo édition devrais-je dire, et m'être fait arnaquer 2 fois ! Comme beaucoup de ceux qui ont choisi l'auto-édition et l'aide bienvenue de TheBookEdition. com. Je me nourris d'espérance et je continue à écrire. Bon vent à vous, à nous tous dont les chemins se croisent dans le catalogue et dans ce forum.
Bonjour, Tout à fait d'accord avec vous Isabelle ! La plupart du temps, écrire rend heureux, ça vous remplit d'électricité, d'ondes positives, d'énergie. Mais parfois, ça rend mélancolique, voire malheureux quand la muse vous fuit obstinément, quand les mots se refusent, que vous êtes vide devant la page blanche. Mais peu importe ! L'écriture fait vivre, vibrer, RESSENTIR !Et ces émotions, avec les mots, se posent sur le papier ou se dessinent sur l'écran. Elles se diffusent et ceux qui les liront ne pourront manquer de les partager, de les faire leur peut-être. II y a eu un mot très à la mode : interactivité, parlant de programmes télévisés mais ceux qui l'ont lancé n'ont rien inventé. Les livres, l'écriture, voilà la véritable interactivité ! L'écrivain, romancier, poète, nouvelliste, essayiste...écrit et le lecteur, en lisant, se réapproprie le texte, le réécrit avec ses propres sentiments, ses mots, son imaginaire. Qu'y a t-il de plus interactif ? Quel plus parfait partage ? Bonne continuation à vous, à votre muse , à vos lecteurs...