Yves Bénard

Génocide arménien et si on nous avait

L'assassinat de l'archiduc François-Ferdinand le 28 juin 1914, a suscité un grand émoi. En moins d'un mois, l'Europe et le Japon entrent en guerre. La

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129041

Reliures : Dos carré collé

Formats : 12x18 cm

Pages : 214

Impression : Noir et blanc

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L'assassinat de l'archiduc François-Ferdinand le 28 juin 1914, a suscité un grand émoi. En moins d'un mois, l'Europe et le Japon entrent en guerre. La

Autour de Yves Bénard

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À propos de l'auteur
Je suis un retraité qui vit heureux entouré par ma famille et mes amis. Je profite pleinement de tous les avantages que m'offre la mer toute proche et les chemins des douaniers, muni de mes bâtons de marche nordique. L'hiver est consacré à la visite des musées, au théâtre, au cinéma, à l'écriture, aux restaurants. Les activités et loisirs ne manquent pas, j'en profite au maximum, pour rester en forme le plus longtemps possible !
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Résumé
L'assassinat de l'archiduc François-Ferdinand le 28 juin 1914, a suscité un grand émoi. En moins d'un mois, l'Europe et le Japon entrent en guerre. La Turquie est assaillie par les Russes, les déserteurs arméniens, les Anglais, les Français, les Grecs, Les Italiens et les Australiens.

Tous les Turcs sont sous les drapeaux. Ne restent dans les villes et villages que les vieillards, femmes et enfants. C'est ce moment qu'attendaient les miliciens arméniens pour mettre en ??uvre leur plan d' « extermination» en vue de l'obtention de la « Grande Arménie ». Mus par une folie meurtrière, ils se livrèrent à des actes de barbarie d'une cruauté indescriptible, plus de 500 000 victimes seront violées, éventrées, crucifiées, égorgées, mutilées, brûlées ou enterrées vives, et les villages incendiés.

C'est cette sombre page de la tragédie turco-arménienne que l'auteur met en lumière en produisant des documents qui apportent un regard totalement nouveau et inattendu sur l'affaire turco-arménienne.

Aujourd'hui, seuls des historiens et experts totalement impartiaux doivent donner une réponse à la question « Les Ottomans sont-ils, oui ou non, coupables de génocide ? ». Les hommes politiques français ne doivent pas se substituer aux historiens.
Avis des lecteurs
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Une vision que defend La Turquie depuis des décennies. Le monde change ainsi que la vision unilatérale fomenté par des diasporas hystérique .Les criminels ont toujours fait diversion en accusant les autres.

    Livre très intéressant !

      1 personne(s) juge(nt) cet avis utile.

      Un beau concentré de mensonges.

        2 personne(s) juge(nt) cet avis utile.

        Exploitation éhonté du rapport de Hovanes Khatchatsouni pour souligner la trahison des Arméniens.
        Après des siècles d'oppression, après le signal du Génocide des massacres hamidiens de 1894, poursuivi en 1909 par les massacres d'Adana, les Arméniens de Van et de Zeitoun se sont révoltés au début de cette guerre. D'autres se sont engagés dans les armées des Alliés. Ce sont les Turcs qui ont décidé d'entrer en guerre et les Arméniens opprimés ont choisi leur camp.

        Il reste que la majorité des Arméniens étaient conscrits dans l'armée ottomane. D'ailleurs de retour d'une inspection sur le front du Caucase, Enver a publiquement fait état, en février 1915, de l'excellent comportement des soldats arméniens, dans une déclaration reproduite par l'Osmanischer Lloyd, journal de Constantinople en langue allemande. Répondant à une lettre de l'évêque de Konia, il écrit :

        « Je profite de cette occasion pour vous dire que les soldats arméniens de l'armée ottomane ont rempli scrupuleusement tous leurs devoirs sur le champ de guerre, ce dont je puis témoigner personnellement. Je vous prie d'exprimer toute ma satisfaction et ma reconnaissance au peuple arménien dont le parfait dévouement au gouvernement impérial ottoman est bien connu (*) »

          1 personne(s) juge(nt) cet avis utile.

          Beaucoup de difficultés pour le trouver. C'est décourageant !

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