L'Ishopanishad des fleurs sauvages

L'histoire d’une exégèse rustique

Trois femmes se sont retrouvées dans un lieu retiré du monde pour étudier ce texte, un des plus vieux du monde, né en Inde il a plus de 3 500 ans, , fondateur de l’Hindouisme : «l’īśopaniṣad du seigneur ».
On y découvre une forme de spiritualité qui encore aujourd’hui nous sert de lumière.
Catherine étudie les 18 versets en sanskrit et l’illustre de ses dessins de fleurs sauvages et de ses calligraphies en devanagari. Elle demande alors à ses amies, l’américaine Carol et la néerlandaise Nicoline de réfléchir avec elle sur ce texte et de le traduire chacune dans sa langue.
Le résultat est une œuvre quadrilingue, riche et colorée, artistique, littéraire et poétique...