La mort du roi et Saint-Fargeau

Le 21 janvier 1793, alors que le roi venait d’être décapité, la Convention nationale bruit d’une colère noire : on avait assassiné un des siens, Michel Lepeletier de Saint-Fargeau.

Riche aristocrate issu d’une lignée de robins, le député de l’Yonne émargeait à la gauche de la gauche, et son assassinat dans un tripot du Palais-royal pose bien des questions : qui était-il vraiment ? Pour qui roulait-il ? Que voulait-il ? Que peut bien cacher cette affaire où l’on croise des faux-monnayeurs, un peintre génial et un tableau-fantôme, des royalistes dupés et des révolutionnaires corrompus ?

Une plongée dans les coulisses d’une révolution bien corrompue et menteuse.