LAURISTON Yrvin

Le Prince A Port-au-Prince:Confidences

Résumé:
Le bouquin « Le Prince A Port-au-Prince : Confidences » est l'histoire d'un jeune étudiant laissant sa ville de province pour

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120431

Reliures : Dos carré collé

Formats : 14,8x21 cm

Pages : 61

Impression : Noir et blanc

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Le bouquin « Le Prince A Port-au-Prince : Confidences » est l'histoire d'un jeune étudiant laissant sa ville de province pour

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Le bouquin « Le Prince A Port-au-Prince : Confidences » est l'histoire d'un jeune étudiant laissant sa ville de province pour s'installer à sa capitale en vue de boucler ses études universitaires abandonnées depuis belles lurettes'

En s'y installant, il rejette ses habits de province pour endosser ceux de princiers en vue d'entamer des aventures d'effronteries galantes et verbeuses aux plus belles et charmante filles et femmes de sa capitale qui lui font des confessions, confidences et aveux de femmes sensuelles et érotiques.
D'où le romantique et le platonicien en suspens'

Extraits:
......-Le Prince A Port-au-Prince : Confidences'

On est au plein c??ur du soleil chaud de Port-au-Prince, la ville la plus pillée et dévastée ; sans oublier Petit-Goâve et Léogane, par le récent séisme du 12 Janvier 2010 où les cadavres petits et grands se furent érigés en de véritables vedettes ou superstars dans les rues de grandes solitudes. Je me suis rentré dans ma ville de Province Saint-Louis du Nord-Port-de-Paix depuis lors abandonnant mon université CFDE de Pétion-Ville où j'étudiais la gestion de projet.
Il faut dire que je ne me fus pas beaucoup terrassé par celui-ci puisque je ne le subissais pas physiquement sauf mentalement, parce que ma maison n'a pas été effondrée puisque ce fut une maison basse et j'étais en camionnette me rendant à l'Université lorsque survenait cet affreux tremblement de terre qui le gazouillait par des gestes de fumées nuageuses.

Entre autres, je me suis rentré encore une fois pour de bon dans la ville de Port-au-Prince le 10 mai 2014 avec beaucoup de projet à concrétiser et matérialiser en tête ; le plus fameux c'est un « Club Jeunes Positifs Pour la Créativité & Productivité » qui se basera sur la sensibilisation et la focalisation des jeunes à la créativité et productivité pour être compétitifs : Moteurs du succès.

Connaissant que notre société haïtienne actuelle n'encourage et ne préconise pas la réussite et le succès (tant sur le plan psychique, mental, physique et matériel), notre club sera le moteur et le promoteur de ce, tout en les orientant sur le besoin d'avoir un rêve, un idéal, un bute, une vision grande pour réussir dans la vie : là où l'on veut arriver et comment jeter des pions chaque jour pour sa concrétisation.

Notre emblème sera : L'abeille & la fourmi, symbole d'harmonisation, de créativité, de productivité et du travail.

Notre devise sera : « Ce que l'un ne peut faire seul, les deux le font aisément » ; la sagesse de l'abeille et de la fourmi. Notre sigle sera : « CJPCP ».

Je me situe du côté de Gérald Bataille, une superbe contrée en apparence, on dirait même une contrée universitaire puisque j'y peux énumérer selon mon parcourt plus d'une trentaine de Centre Universitaire. Dans une rue seulement, il y en a au moins 10. C'est beaucoup admirable.

Par ailleurs, après le terrible tremblement de terre, vint 9 mois plus tard soit en octobre 2010 le Choléra comme une nouvelle plaie méphistophélique augmentant la tribulation du peuple haïtien, et les séquelles de cette faramineuse catastrophe naturelle et humaine y existent encore.

En Avril 2014, la fièvre Chikungunya communément appelée »Kraze le zo » par les haïtiens vint amplifier le lot des tourments et des déboires des haïtiens dans tous les départements du pays ; c'est la pagaille et le bruit partout. C'est le théâtre trivial qui n'en finit pas entre les lèvres de toute et chacun.

Partout et ailleurs, on s'engueule, on s'amuse, s'affole autour de celle-ci. Quand on reçoit sa main de Sol, c'est le théâtre traumatisant des os du corps de la tète au pied autour des zones où les articulations existent. On dirait une déambulation et une pénitence acrobatiques. On se dépossède comme si on attrape un zombie selon le rituel des maladies superstitieuses haïtiennes. Tout est mystère et superstitieux dans ce pays d'Haïti. Eh bien tout comme le choléra, Chikungunya n'est pas superstitieuse, c'est le démantèlement totale de tous vos os'On crie la chamaille partout, ici et ailleurs...
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