Ma névralgie d'Arnold

Rosalinda, la trentaine, raconte la maladie de son père, le départ de son mari, et comment malgré tout elle garde foi en la vie. Elle raconte comment elle a appris qu’aucune bande n’a pour chef un certain Gaza, comment le cancer d’un père devient vite le cancer d’une famille entière, mais surtout que l’humour peut sauver des vies, parce que malgré tout, la vie continue et qu’il ne faut surtout pas la laisser continuer sans nous, que le Sprite, selon une vieille théorie est une boisson de connard, et que fumer peut tuer, mais qu’associé au café, ça peut juste et simplement filer une bonne grosse diarrhée…et que ça, c’est pas écrit sur le paquet…