C'est en lisant un article relatant l'incendie qui a ravagé dans la Vienne le château de la Mothe-Chandeniers, dans la nuit du 13 au 14 mars 1932, que Simon-Adjid Pesenti s'est donné la liberté d'imaginer les ressentis d'un châtelain, par le biais de quatrains poétiques.