Résumé
"Quelque part, quelqu'un joue du violon". Il semble que ces mots furent les derniers prononcés ou écrits par un criminel célèbre avant de se donner la mort. Pour l'auteure de ce recueil cette connotation morbide n'a d'autre sens que celui qui lui permettrait d'exorciser ce moment fatal qu'elle a déjà - malheureusement - connu. Loin d'être une apologie du suicide, ses poèmes veulent capter l'instant où tout bascule, où tout est remis en question dans une impression fausse de toute-puissance, pour se débarrasser de vieux démons qui ne lui font plus peur. À comprendre seulement comme une échappatoire, ce petit livre délivrera une dynamique de paix intérieure ainsi qu'un hymne à la vie.