Résumé
"Dans ces temps du présent qu'ils disent modernes,
Quand l'oubli de la vie côtoie la folie,
Quand le désir en tout esprit s'amplifie,
Mon cœur à nu déchire ces voiles ternes.
Pour une foi sans cesse renouvelée,
Comme dans l'espoir d'une paix fantasmée,
L'homme comme l'enfant n'ont rien oublié,
De la beauté dont jaillit l'humanité.
Parce que mon seul combat est d'honorer,
La flamme des hommes aimants le vivant,
Pour qui voit, c'est mon œil droit qui a figé,
L'esprit du beau, du vrai, du vivifiant.
En courtes noces, lumière épousa l'ombre,
Et ce cœur de papier qui t'est confié,
C'est pour unir les vies et l'âme sans nombre."
Denis Mourizard