Résumé
Et si les silences savaient parler ?
Dans ce recueil à fleur de peau, Élisabeth Vezin-Mourcou tisse des poèmes comme on tend une main dans le noir, avec grâce, force et fragilité mêlées.
Ses mots, à la fois tendres et incandescents, traversent le deuil, la mémoire, l’amour, les saisons intérieures… pour dire ce qui ne s’efface pas, ce qui palpite encore, même sous la cendre.
On y marche entre les feuilles, les larmes, les rêves suspendus. On y cherche l’écho d’une voix, un souffle, un signe.
Chaque poème est une clairière ouverte dans la forêt du quotidien, un lieu où le lecteur peut s’arrêter, se reconnaître.
Un voyage intime, sensoriel et lumineux, à lire comme on s’approche d’une braise ou d’un battement.