Je me nomme Cora Bellisle. Clin d’œil à mon surnom et à une ville de ma région d'origine. Saurez-vous retrouver le nom de cette ville bretonne ?
J’ai l’âge idéal de la maturité optimiste qui peut transmettre son expérience et ses valeurs. En bref, je suis ni trop vieille ni trop jeune, mais surtout optimiste !
Je lis depuis mon enfance principalement des livres d’Histoire (Religions, Civilisations anciennes, Moyen Age et époque contemporaine), mythologie, dramaturgie poétique, roman classique, fantastique, science-fiction et thriller. Les auteurs sont tout autant variés : Shakespere, Rostand, Hugo, Balzac, Baudelaire, Maupassant, Dumas, Coelho, Gibran, Stocker, Rice, Le Fanu, Mathesson, Connelly et d’autres encore si j’ose !
J’écris, depuis plus de vingt ans, essentiellement des fictions qui s’inspirent du réel et qui déborde vers l’irréel tout en restant probable. Une phrase, une musique, un dessin sur un tee-shirt, un paysage peuvent m’inspirer l’amorce d’une histoire. Dans mes écrits, j’insère des personnes que je croise par des détails, des comportements ou des habitudes. Je les remodèle pour mon histoire. J’aime à ce que la fin soit inattendue. J’ai souvent lu des livres où je devine la fin telle que je le prévois. C’est l’une de mes attentes envers le lecteur : se laisser guider en sécurité sans savoir ce qui l’attend.
Ce qui m’a inspiré Les Cavaliers de l’Ordre d’Iris c’est l’arbre isolé sur la colline que je croise tous les jours sur la route. Puis, la fréquence des Arcs-en-ciel à cause du changement climatique brusque.