JEAN-PIERRE COBUT

LE JOUR VINT LA FIN

Mai 2012 !
Le froid traîne ses bottes sur les sentiers détrempés.
Les fleurs du cerisier n'ont pas eu l'occasion de prendre leur bain de
soleil, le

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88278

Reliures : Dos carré collé

Formats : 11x17 cm

Pages : 228

Impression : Noir et blanc

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Mai 2012 !
Le froid traîne ses bottes sur les sentiers détrempés.
Les fleurs du cerisier n'ont pas eu l'occasion de prendre leur bain de
soleil, le

Autour de JEAN-PIERRE COBUT

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Ses ouvrages
Résumé
Mai 2012 !
Le froid traîne ses bottes sur les sentiers détrempés.
Les fleurs du cerisier n'ont pas eu l'occasion de prendre leur bain de
soleil, le magnolia ne fleurira pas mordu par le gel et les tulipes
referment leurs corolles chaque soir pour rêver à l'abri du vent.
Etrange printemps !
Mais Juliette est impatiente et, malgré ses problèmes physiques, elle
n'a pu attendre'
Le jardin a déjà reçu ses offrandes : poireaux, salades et plantes aromatiques !
Quelques semis, aussi'Mais quel sera le résultat de ses plantations précoces ?
Ce midi, elle est rentrée avec une provision de fleurs'géranium,
impatiences appelées « amourettes » par la grand-mère de Pierre,
tagettes orange au parfum fort, petunias aux fleurs violettes, en
forme de cornet, silvias rouges et surfinias bleues.
Quatorze heures ! Juliette est à son affaire ! Mains couvertes de
terre, pots alignés, fleurs choisies avec un soin particulier'promesse
de beauté.
Table de la terrasse encombrée sous le regard des tulipes noires qui
ne veulent pas mourir'
Pierre regarde son épouse avec tendresse derrière la vitre. Il la sent
heureuse, amoureuse de son travail, le front plissé par l'attention
qu'elle manifeste à l'égard de ses fleurs'
A quoi rêve-t-elle, silencieuse ? A sa vie accompagnée de son
optimisme et de ses éternels projets ?
A sa petite famille, perpétuel souci pour son c??ur d'épouse, de maman,
de bonne-maman ?
A lui ?
L'émotion l'étreint, il a envie de sortir et de la serrer dans ses
bras mais il s'abstient, maladroit.
Qu'il est difficile de dire qu'on aime' même âgé !
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toujours cette nostalgique pudeur

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