J'aime aussi ce roman etant prestidigitateur je crois que apres Les secrets de la pretidigitation que je met sur le site je consacrerai un autre livre aux ventriloquies et arts de camouflage sur scene.
J'aime aussi ce roman etant prestidigitateur je crois que apres Les secrets de la pretidigitation que je met sur le site je consacrerai un autre livre aux ventriloquies et arts de camouflage sur scene.
Il se pourrait que vos inspirations ne laissent pas indifférent mon ami Otto ! .... Otto aussi est une sorte de magicien, mais magicien dans l'art de révéler ce qui se cache à nous ....
Me voici de retour sur le forum. Mon séjour en Angleterre, un pays que j'aime bien, m'a permis de revoir Londres sous bien d'autres aspects, loin des touristes et je dirai que c'était 'magique'. Tu as raison d'employer ce mot au sens fort, car depuis mon enfance j'ai toujours été fasciné par les prestidigitateurs et je dois avouer que j'aurais aimé exercer ce 'GRAND ART'. J'ai beaucoup d'attirance, de respect pour ces artistes qui nous donnent du rêve 'à la puissance n'. Autant dire que j'ai toujours un grand plaisir à voir entre autre 'Le plus grand cabaret du monde' qui offre des spectacles d'une très grande qualité, comme quoi la télévision peut encore produire des émissions remarquables aux spectateurs. Aussi, ce type de sujet très original traité par Touvius, ne peut que retenir mon attention. Au sujet de mon dernier ouvrage, je suis heureux de te savoir satisfaite de la manière dont j'ai traité le sujet. Comme je te l'ai déjà dis, il m'a fallu restreindre mes propos et j'avais encore bien d'autres points à développer, mais il faut savoir terminer un livre pour passer à d'autres ouvrages et projets. Puis, il faut répondre à des travaux sur commande. La Mairie de Beausoleil et la Principauté de Monaco aimeraient que je développe des études qui seraient données sous forme de conférences au sujet de certains aspects se rapportant à leur patrimoine historique, sociologique et littéraire. C'est intéressant car cela me permet de m'ouvrir à d'autres horizons et à d'autres recherches, d'autant que la bibliothèque NOTARI à un fond extraordinaire. 600.000 ouvrages de référence. Je t'en parlerai plus amplement par mail. Comme tu le vois, le travail ne manque pas... GROS BISOUS A NOTRE TRES CHERE AMIE MYCHA. Alex et Sarah
Vas-tu avoir assez d'une tête pour faire tout ce que tu veux entreprendre ? Je me le demande. N'as-tu pas déjà songé à te faire cloner ?? Evidemment j'admire ta force créatrice. Tous ces projets pour toi sont excellents cadrant tout à fait avec tes centres d'intérêt.
Ami Otto, je me demandais si tu ne serais pas passé à côté du message de Nicolas Bleusher en page 4 ? Cette personne semble intéressée par le propos de A FLEUR DE PEAU...
Un petit coucou en passant pour te dire que tes trois toiles ont été remarquée parles visiteurs de ce week-end porte ouverte des ateliers de peintres, organisé par le Conseil Général de Loire Atlantique... Bien à toi Alexandre.
J'ai terminé la lecture d' A FLEUR DE PEAU. Que de corrélations, analyses subtiles et références se situant à l'interconnexion entre les connaissances scientitfiques et littéraires ! Ce qui lui confère tout son intérêt et originalité. Vers la seconde moitié lorsque tu abordes les organes et particulièrement la langue, ce ne me fut pas toujours facile à suivre. Je n'avais pas tes références. Il me faudra y revenir.
Comme les femmes sont très présentes dans ton livre (bizarre, bizarre !- sourire) et que tu en parles avec force détails criant souvent de vérité, je me suis demandée si, dans une autre vie, tu n'aurais pas été femme !! (sourire)
En tout cas il s'agit là d'un authentique et remarquable essai sur la peau et tout ce qui s'y rapporte. Il devrait retenir l'attention de beaucoup !
Je ne crois pas à la métempsycose, mais plutôt aux premières années de notre vie qui sont parfois déterminantes pour notre avenir. Sans se référer à ce lieu commun que l'on a tous en soi les deux sexes, il est un fait notoire que j'ai eu mes premières amitiés avec des filles qui étaient très jeunes et dont les mères étaient très séduisantes. Mon enfance a évolué dans un monde de 'grandes dames' car mes parents habitaient un lieu très résidentiel et aristocratique près de Versailles, dont la plupart avaient des noms à particule et beaucoup de tenue. J'allais souvent chez elles et c'est là que j'ai découvert très tôt le monde de la musique classique, la peinture, la lecture, les bons usages du monde. C'est le fait de les avoir côtoyé de bonne heure, sans oublier mes lectures : la jeune Sophie von Kühn, l'égérie amoureuse de Novalis, Anna Karenine de Tolstoï dont j'étais tombé follement amoureux à 14 ans, Aurélia, les filles du feu de Nerval et d'autres jeunes et moins jeunes bien réelles qui ont marqué ma très jeune adolescence, comme cette petite russe Aliocha qui est partie un jour alors que j'avais 5 ans : un vrai traumatisme qui a terriblement marqué mon enfance. En tout cas merci de tes gracieux commentaires sur mon ouvrage que j'ai essayé de faire simple malgré quelques chapitres qui demandent plus d'attention il est vrai.
Moi non plus je ne crois pas à la métempsychose. C'était une boutade, bien sûr ! Tu as raison de souligner- ce que l'on tend à méconnaître ou à 'oublier' (?) parfois, à savoir que nous avons en nous un peu de l'autre sexe, et cela en quantité telle qu'elle va plus ou moins nuancer de caractères inverses notre sexe apparent et dominant. C'est un fait scientifique. Je me doutais bien que tu avais évolué à la fois dans un monde peuplé de femmes agréables mais aussi dans un contexte où régnait, pour le moins, le 'savoir-vivre' et la culture. C'est un atout pour toi, Alexandre. Cela t'a façonné, bien évidemment et fait de toi un être délicat, très attentif aux autres et extrêmement curieux de tout ce qui l'entoure. Et , ô miraculo, sans préjugés- ce qui est admirable toi qui aurais pu conserver un esprit de caste ! Je vois que nous avons eu souvent les mêmes lectures. On a beau dire, cela rapproche ! ...
C'est vrai que nous naviguons dans les mêmes sphères poétiques et littéraires qui nous permettent d'être souvent au diapason. Ce Week-end on s'efforcera de faire passer tes sentiments et tes émotions auprès du jeune public que nous allons rencontrer durant ces deux jours. En ce moment, je suis trop occupé pour écrire, d'ailleurs cela fait du bien de prendre du recul. J'ai trop de choses en tête, de projets à mener à terme que je donne actuellement priorité à la lecture. Des dizaines des livres m'attendent tous aussi intéressants les uns que les autres. J'ai bien du mal à mener tout cela de front et tu me connais je suis d'un tempérament vorace car tout retient mon intérêt.
Je profite que l'ordi veuille bien me donner accès au forum pour glisser ici et là un petit mot. Je pense à toi et Sarah, peut-être êtes-vous déjà à défendre mes couleurs enfantines ? ... J'espère que l'on s'attarde auprès de vous ! ...
Il va donc te falloir trouver ... ah! quoi donc ? ... mais oui, c'est cela, ... du temps pour tout faire !! (sourire)
Comme nous aurions aimé faire beaucoup mieux autour de tous ces requins qui ne laissent pas la place aux petits auteurs ! Bon, il faut continuer. Il y a des jours sans et d'autres plus rieurs. Gros bisous. Alex et Sarah
Je ne suis déjà pas si mécontente que cela !! Et tout ce que tu m'as rapporté est fort intéressant et ... édifiant, cher Otto ! Encore mille merci pour votre pugnacité.
Bien affectueusement à vous deux, Mycha
PS : suis à nouveau dans l'impossibilité de lire mes mails ...
Je vais réfléchir, remettre les choses à plat car ce n'est guère facile de vendre les livres en dehors des circuits de distribution, voire mission impossible. A titre d'exemple Ramaioli, une des pointures de la BD avec qui j'ai discuté à Beausoleil n'a suscité aucun intérêt alors qu'il vient de sortir une BD pour les enfants, tout simplement parce qu'il diffuse ses livres en indépendant. Le 29 Mai, je fais des signatures chez un libraire et celui-ci va me prendre 30% sur la vente de mes livres. LA FNAC prend 60 %, je dis bien soixante pour cent. Je n'en croyais pas mes yeux quand mes amis qui voulaient vendre leurs livres me l'on dit. En fait, il faut avoir un distributeur et repasser par un éditeur chez qui tu dois éditer moyennant finance. Tu ne peux pas traiter directement avec lui même si tu payes (3000 Euros au minimum). C'est très compliqué et en dehors de mes conférences et de certains salons (à condition que cela soit gratuit), des bibliothèques, des librairies dont beaucoup prennent 40 % il est difficile d'écouler ses ouvrages. Pour toi, je vais voir ce que je vais faire pour essayer de t'en vendre d'autres, mais rien n'est gagné dans ce domaine.
C'est simplement écoeurant ! Rassure-moi, quand tu parles de % pris sur tes ventes par une librairie : 30 %, ou la Fnac : 60 % (on croit rêver), je suppose qu'il s'agit d'une % sur ta marge bénéficiaire ? Sinon, évidemment, tu vendrais à perte !! ... Précise-moi cela, stp, Otto. Personnellement, je préfère ne pas vendre du tout que donner de l'argent pour être lue ! Bisous à vous deux, Mycha
Cela te paraît peut être incroyable. C'est le pourcentage sur le prix total du livre. Si je vends un bouquin 10 Euros, c'est 3 Euros pour le libraire. Si je vends à la Fnac c'est 6 Euros pour elle. Avec 30%, je garde encore une marge d'environ 1,5 Euros, car la publication sans couleur coûte beaucoup moins cher, comme tu le sais. C'est pour cela que les livres pour enfants sont difficilement vendables, car trop onéreux au niveau de la couleur. Avec la Fnac c'est totalement impossible. Donc tu avais bien compris. Gros bisous. Alex
Bien sûr, cher Otto, nous sommes trop chers, la plupart du temps.
Je crois que TBE c'est vraiment parfait pour se faire plaisir, assouvir cette envie de gosse de voir ses mots faire les beaux dans un livre que l'on ne doit qu'à soi-même- imprimerie à part, bien sûr. La tentation est trop forte, l'émotion est trop belle. Puis la raison revient au galop et tu entends cette réflexion allant crescendo : mais, je ne vends rien - ou si peu ! Alors on se dit, à juste titre, qu'il faut revoir sa copie , reprendre le texte, l'orthographe, la mise en page, la couverture !! C'est là que l'on peut se tourner vers l'aide de professionnel(les) de la correction, car, du travail, il y en a !! Je pense à Mary J'Dan, par exemple. Personnellement, j'ai été complètement surprise de toutes les 'reprises' (corrections) réalisées par Mary, corrections qui étaient nécessaires à ma nouvelle 'Pas possible, dîtes-vous ?' Qu'est-ce qu'elle est belle maintenant !!
Pour revenir au problème de vente, donc de coût de fabrication et de marge : éditer en couleurs reste onéreux. C'est vraiment dommage pour les livres pour enfants !...
Bises, mon cher ami.(à partager avec Sarah !) Mycha
C'est vrai, l'auto-édition n'est pas l'idéal, mais toutefois cela n'empêche pas de vendre ses livres. Cela peut beaucoup varier d'un auteur à l'autre. Simplement, c'est beaucoup plus difficile et il faut s'investir énormément au niveau commercial car les objections DANS L'ORDRE sont nombreuses : c'est de l'auto-édition, vous avez été refusé chez les grands éditeurs, c'est mal écrit, le look du livre n'est pas attractif, il y a des fautes, etc... C'est là que tout se joue : savoir se vendre ou pas. Perso, je sais parer les objections en allant vers les gens (vente active) et non passive en restant derrière le stand. Pour ton cas, j'aurai pu vendre 4 à 5 ouvrages de plus, mais ceux-ci étaient bien trop chers comparés à ce qui étaient proposés autour de nous dans les autres stands.